Pour ceux qui n'ont pas suivi la migration grâce au flux RSS, le blog a changé d'adresse! La suite se passe sur www.gaduman.com ! A tout de suite là bas :)

Vu chez Guillaume, cette vidéo "virale" (dans le sens où elle emploie un des leviers possibles de viralité, ici le spectaculaire). Je vous laisse d'abord la découvrir...



Donc c'est pour un voyagiste néerlandais spécialisé dans l'extrême. Woaw. Bin je trouve cette vidéo horrible. En fait cette séquence me trouble pas mal, car je rêve très régulièrement de voir un avion s'écraser à quelques mètres de moi et de le filmer... Tout à fait comme dans cette vidéo. Du coup je trouve ça franchement horrible de "jouer" avec de thème pour vendre du voyage. Ca n'a rien de fun, vraiment :/

Hier soir un coup de fil sympathique m'a fait comprendre que ma vidéo de déménagement a été sélectionnée par YouTube France... du coup elle se trouve directement en home, en top de la sélection. Le nombre de vues a grimpé en flèche.. et on ne s'attendait pas du tout à une telle mise en avant :)

Et pendant ce temps là, même si la fréquence de publication a baissé, ce n'est que temporaire : le nouveau thème du blog arrive très bientôt - grâce à un coup de pouce de Brian & Etienne, qui ont patché wordpress comme des dingues, mais ça marche :) Et j'ai aussi le nouveau thème de RollsRox en préparation, c'est donc une semaine très photoshop+css.

Hella fait tout plein de choses pour améliorer votre conduite. Ses phares (halogène, au xenon ou dynamiques dans les virages) en sont un exemple. Et pour illustrer leur efficacité, la marque française a mis en ligne un advergame (international, jusque dans la traduction partielle de certaines phrases) baptisé "Light Driver". Si j'ai bien saisi, la version 2 est toute fraîche, tandis que la v1 date un peu - octobre 2004 si j'en crois le tableau des scores. Le jeu se télécharge uniquement sur PC. Et une fois la partie lancée, accrochez-vous.

Si vous lisez bien, c'est le WE et faut rentrer dare-dare chez vous. les contrôles sont simples : les flèches du clavier. Alors moi, bêtement, je laisse appuyé sur flèche haut pour avancer. Et voilà que je me retrouver à 140 sur une départementale avec des obstacles à tout va. Là, je me dis que c'est pas très Sécurité routière comme jeu. Tout l'inverse de la simulation qu'on a réalisée pour Restez Motard A Moto.

Mais après deux parties au score quasi nul sans finir le premier niveau, j'ai fini par me demander à quoi servait la jauge de couleur à droite de l'écran. C'est en fait un repère de vitesse sur lequel vous baser : il ne faut pas aller trop vite (donc pas laisser appuyé sur flèche haut) pour garder une allure raisonnable. Une fois ce paramètre acquis, vous redécouvrez complètement ce jeu sous un autre angle. Moins fun du coup. Mais plus responsable. Ouf, à un moment j'ai cru avoir eu entre les mains le jeu le plus anti-sécurité routière du monde.

Ah et les pharses dans tout ça ? Bin ça fonctionne, mais on préfère finalement entendre crisser les pneus...

Après un mémoire sur les blogs de marques l'an passé, je m'atelle en ce moment à creuser les advergames - oui, j'aime bien jouer pour le boulot. Ok, au boulot aussi, mais ça fait partie de mon job :) Parce que les advergame, l'air de rien, ça sert. C'est ce que j'ai essayé d'exprimer dans cette présentation faite pour un cours au Celsa, invité par Cyril qui intervenait sur les stratégies digitales. Ca fait franchement bizarre de se retrouver de l'autre côté du bureau dans la propre école d'où on sort. Mais ça fait plaisir de répondre aux questions, ça prouve que tous ne jouent pas à la NDS sous le bureau comme j'ai pu le faire parfois, haem. Bref, vous avez donc la présentation mais sans tous les commentaires qui vont bien, mais ça fait une base. Pour le reste, bin je continue à creuser :)



Je continue à récolter les infos autant que de proposer des advergames dans mes recos.. c'est une brique de plus en plus importante dans les dispositifs online.

C'est la fin de l'année et tout plein d'agences de pubs ont réalisé les cartes de voeux digitaux de leurs clients, et les leurs. Un petit condensé de ce que j'ai pu voir sera ici présenté, mis à jour au fur et à mesure.

Virtuadz vous présente ses voeux sous la forme d'un mini-jeu. Le clin-d'oeil est double puisque non seulement le père noel est là, mais en plus il dans la tecktonik! je crois que je l'avais faire à peu près tout (oui...) sauf ça. Bien joué Gabriel ! il manque juste un bouton pour activer le son par contre :p



L'agence X-prime s'est révélée particulièrement créative avec un film + mini-site, sur lequel vous pouvez écrire une carte à l'agence et tenter de gagner une campagne bannière, une charte graphique ou un autre pack digital de l'agence. Bonne idée, bonne réalisation, ça donne envie d'aller sonner chez eux.



Chez Lowe Stratéus, on a voulu mettre en avant la réunion de plein de talents. Du coup c'est une partie de chacun de nous qui se retrouve dans cette carte, queje vous invite à découvrir par ici :)



Comme l'an passé, OfficeMax remet le couvert avec ElfYourself. Cette fois vous pouvez uploader 4 photos pour une choré en groupe, ou faire intervenir des lutins au hasard. Grosse impression de déjà vu. L'an prochain ils seront 8 ?



Sony propose, toujours en mixant les codes de Noël et ses lapins à toutes les sauces, une carte-jeu qui fait apparaître les messages selon la dextérité du joueur. Reçu par mailing base Sony, pas possible de l'envoyer à ses contacts.



Vu chez Guillaume, la carte de Bssat Ogilvy repose sur une vidéo très premier degré. Potentiel viral, mais pas très drôle...

Si vous en trouvez d'autres n'hésitez pas à me les envoyer :)

Quand on crée un site web, une bannière, quand on illustre un billet, c'est toujours le même problème : les droits des photos et illustrations. Masterfile m'a proposé de me pencher sur le sujet (et je précise que je l'ai traité sans contrainte), qui est une vraie problématique dans le quotidien des blogueurs et/ou en agence digitale.

Dans le domaine privé, généralement les blogueurs se limitent dans les meilleurs des cas à citer l'auteur de la photo. Pourtant, ce n'est pas si facile. D'autant que dans la quasi totalité des cas, les blogueurs se contentent simplement de récupérer images, photos, logos, parfois même en utilisant la bande passante de son auteur.. tss tss ! Pour y remédier, deux solutions existent. Les auteurs passent parfois leurs photos/illustrations sous le couvert de licence Creative Commons, qui permet d'autoriser la diffusion et la modification de leurs oeuvres. Une recherche dans la galerie Flickr avec cette option cochée facilite le tri.

Pour illustrer un site ou une autre création à destination du web, autant se tourner vers les banques d'image à bas prix. Récemment, Masterfile s'est aligné sur la concurrence et a modifié son offre pour proposer des photos libres de droit à moins de 50 euros, pour diffusion online uniquement. Getty Images propose cette option pour l'ensemble de son catalogue depuis quelques temps déjà, mais on sent que le concept se démocratise dans les banques d'image. L'idée n'est pas de proposer des photos au rabais, mais de s'adapter aux campagnes et aux besoins du web : pour faire simple, on a pas forcément besoin de HD, un petit format mais de qualité suffit. Après, c'est sûr que l'on reste dans du stock photo. Certains sites corpo réussissent aujourd'hui à dealer directement avec les auteurs de photos publiées sur flickr pour les intégrer à leur site. Mais dans ce cas, c'est quitte ou double !

disclaimer: bien que le sujet m'ait été suggéré, j'ai choisi de le traiter de mon point de vue

Vu à la tivi ce soir, la campagne qui est sortie il y a peu pour SmartBox (ex WeekEnd Desk):



ça ne vous rappelle rien ? Allez je vous aide..



Franchement, pomper son voisin parce qu'il réussit, c'est pas forcément la bonne solution. Cette attitude de suiveur dessert SmartBox, qui illustre son manque d'originalité. Au lieu de se démarquer et d'innover - d'autant plus sur ce type de produit plutôt nouveau - SmartBox se contente de reproduire le schéma d'un produit qui marche... certainement pour jouer sur la confusion ou l'assimilation des individus.

PiliPili, c'est une longue histoire. Difficile de parler d'un projet sur lequel on a planché, on a toujours l'impression d'en dire trop (oups) ou pas assez. Amené à bosser sur la compèt' pour la partie digitale, j'ai pu apprivoiser la bête il y a quelques temps déjà. Depuis, elle a pondu quatre numéros magazine à Rennes et Grenoble, avec un site qui va bien mais fait chez d'autres. Alors pour ceux qui n'habitent pas ces deux villes test, difficile de se faire une idée du concept. Pour résumer, comme le dit Ju, c'est les bonnes adresses avec les bons plans. Les commerciaux de Pili vont au contact des commerçants pour trouver des bons plans à proposer aux individus. Par exemple au Matuvu, cabaret de transformistes, le mercredi ou jeudi soir la 4e personne d'un groupe ne paie pas son entrée, sur présentation du bon plan bien entendu. C'est un exemple parmi d'autres puisque le mag / site se découpe en plusieurs univers thématiques (shopping, beauté, sortir, mode, loisirs) et en sous-rubriques précises. On retrouve donc des cafés offerts, des 10% de réduc, des boutons de manchettes offerts, des bonus en tous genres avec ou sans conditions selon les cas. Du coup la recherche par mot-clés fouille aussi bien dans les tags que dans les noms, les descriptions des lieux ou les avantages recherchés, intéressant.

Actuellement le site est en version alpha, il n'y a que la base. Pili va être amené à évoluer de plus en plus vers l'aspect "réseau social" avec des fonctionnalités plus pointues ouvertes aux utilisateurs. Parallèlement, d'autres villes vont suivre. Et puis même si le concept est plutôt une opportunité pour les consommateurs que nous sommes, certains ne le voient pas comme ça. Leur critique un peu trash est d'ailleurs à côté de la plaque : non seulement ils balancent les mags dans des poubelles de non-reçyclage les sagouins, et puis le mec a un sac à dos Eastpack... vive l'alter mondialisme ;) Et de toute façon, le web va tout supplanter. Faudra trouver autre chose les gars, yerk yerk yerk.